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La traversée du Mozambique par temps calme:…
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La traversée du Mozambique par temps calme: roman (edition 2008)

by Patrice Pluyette

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Belalcazar, archéologue à la retraite, embarque pour le Pérou à la recherche du trésor d'une ville secrète, Païtiti, qui, d'après la légende, renfermerait l'or de toutes les cités incas réunies. Accompagné d'aventuriers, dont les frères Hug-Gluq et Negook, et de Fontaine, la cuisinière, il part retrouver Sophie, chargée de les guider dans la jungle, sur un bâteau mené par Florence Malebosse.… (more)
Member:ldcosta
Title:La traversée du Mozambique par temps calme: roman
Authors:Patrice Pluyette
Info:[Paris], Points, impr. 2009, cop. 2008
Collections:Movies, Your library, Wishlist, Currently reading, Recovered books
Rating:***
Tags:français

Work Information

La traversée du Mozambique par temps calme by Patrice Pluyette

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> Un archéologue à la retraite, accompagné de quatre aventuriers, part à la découverte d'une cité inca ensevelie dans la jungle du Pérou. Mais rien ne se passe tout à fait comme prévu. Les détours et les rebondissements sont nombreux avant de toucher au but.
—admincb (Culturebox)
  Joop-le-philosophe | Jan 13, 2019 |
C'est l'histoire d'une chasse au trésor. C'est encore l'or des incas qui est la cible de toutes les convoitises. Autour de Belalcazar, archéologue fantasque ayant échoué plusieurs fois dans sa quête, est réunie une équipe originale : les frères Negook et Hug-Gluk originaires du nord de l'Alaska, la cuisinière spécialiste des frites Fontaine sans oublier la mystérieuse Malebosse. Tout ce petit monde va prendre la mer direction Païtiti. Ca, ils en sont sûr, pour le reste par contre ... Et le moins que l'on puisse dire c'est que ce n'est que le début de leurs péripéties.
Patrice Pluyette, jeune auteur d'une trentaine d'années, a clairement positionné son roman sous le signe de l'humour. Le nom et la description des personnages vous avaient peut-être déjà mis la puce à l'oreille mais vous n'avez encore rien vu. Il joue à fond la carte du délire, du rocambolesque et du loufoque au risque de perdre ses lecteurs en route. C'est exactement ce qui s'est passé pour moi. Je suis resté bien loin de Païtiti, planté sur un rocher au milieu de l'océan. Le délire me plaisait bien au début mais je n'ai pas marché à la longue dans le parti pris de l'exagération totale. Dommage, j'étais pourtant enthousiaste à l'idée de me plonger dans un bon roman d'aventure dépoussiéré par un jeune auteur talentueux. En regardant un peu les avis concernant ce livre, on peut dire qu'il ne laisse personne indifférent : certains l'ont aimé, d'autres l'ont détesté. Il a même divisé nos grandes instances littéraires puisqu'il a été nominé sans être primé pour les prix Goncourt et Médicis 2008. Je vous laisse donc vous faire votre propre opinion. Pour ma part et malgré cette déception, je suivrai tout de même cet auteur dont le style rafraîchissant m'a enthousiasmé. http://www.aubonroman.com/2011/05/la-traversee-du-mozambique-par-temps.html ( )
  yokai | May 12, 2011 |
Le pot-au-noir, c'est cette zone où les voiles sont flasques, où tout se tire en longueur, où tout ballotte et se fait attendre. Ce roman est clairement dedans et je n'ai pas accroché à cette histoire. Oh ! Certes, le sujet aurait pu être intéressant, avec ce capitaine un peu loufdingue qui recrute au fil du temps un équipage qui ne l'est pas moins afin d'aller à la recherche d'une cité perdue. Cela aurait pu donner un roman d'aventure décalé, baroque, joyeux et fantasque. Il y a un peu de cela. Mais la sauce ne prend pas et jamais ce livre ne m'a fait sourire une fois. Pour tout avouer, cher lecteur, je l'ai abandonné lâchement à l'orée de la jungle, n'ayant aucune envie de prolonger dans l'enfer vert la douleur que j'ai eu à décrypter l'enfer des lettres. Car il y a le style de l'auteur, et là, las, j'abandonne. Je fais partie de ces vieux ronchons réactionnaires n'ayant rien compris à la littérature, qui considèrent que les phrases les meilleures sont toujours les plus courtes. J'assume ma ringardise absolue, définitive et crasseuse mais il faut que le lecteur juge sur pièce. Mon abandon a été décidé avec cette goutte d'eau stylistique :

"A la suite de son doigt vient un poignet, évidemment, puis un bras, qui occupe à présent la diagonale du champ de vision du marcheur la précédent, Hug-Cluq, toujours lui, dont le nez, penché jusqu'à maintenant vers ses pieds à lui, le terrain accidenté, les flaques à éviter, les tennis blanches et les chaussettes de marche impeccables de Sophie qui porte aussi un short en lycra très serré, se trouve à quelques centimètres du bras, de sorte qu'il peut tranquillement respirer l'odeur de sa peau, celle de la sueur qui a l'odeur des sueurs qu'il aime, une odeur ronde et fruitée de balle de tennis dont il ne pourrait néanmoins pas pousser plus avant la comparaison ni l'expliquer, encore moins en ce moment, concentré qu'il est dans le désir de ne pas se laisser déconcentrer par cette femme qui lui demande pourtant de se concentrer un instant sur ce qu'elle dit et non pas sur ce qu'elle fait ou ce qu'elle est, l'ara comme beaucoup d'autres étant une espèce en voie de disparition qui, si nous n'y prenons garde, pourrait en venir à s'éteindre dans les cinquante prochaines années." (page 175)

Il parait que ce livre a été bien reçu par la critique. C'est à désespérer de cette dernière, comme des éditeurs. Pour ma part, je laisse l'auteur traverser calmement son Mozambique en lui souhaitant un bon vent frais pour sortir du pot-au-noir. ( )
  Veilleur_de_nuit | Jan 25, 2011 |
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Publisher's editors
Blurbers
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Canonical DDC/MDS
Canonical LCC

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Belalcazar, archéologue à la retraite, embarque pour le Pérou à la recherche du trésor d'une ville secrète, Païtiti, qui, d'après la légende, renfermerait l'or de toutes les cités incas réunies. Accompagné d'aventuriers, dont les frères Hug-Gluq et Negook, et de Fontaine, la cuisinière, il part retrouver Sophie, chargée de les guider dans la jungle, sur un bâteau mené par Florence Malebosse.

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